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L'Espagne se prépare à légaliser l'avortement

L'Espagne se prépare à légaliser l'avortement

Le gouvernement espagnol se prépare à déréguler l'avortement. Jusque là, il était déjà autorisé qu'cas de viol (jusqu'à 12 semaines de grossesse), de malformations du foetus (22 semaines) ou de "danger pour la santé physique ou psychique de la mère" (sans limitation de temps).

Cette dernière cause, où l'on reconnaîtra la même duplicité que dans la "détresse de la femme" de la loi Veil, était déjà couramment invoquée par les candidates à l'avortement, ce qui conduit à un nombre croissant (+126% en 10 ans) d'avortements en Espagne. Encore une fois, plutôt que de traiter le problème à la racine (l'absence de communication au sein des couples également illustrée par le taux très élevé de violences conjugales dans le pays), on propose une fausse solution. 

L'Espagne avait été choquée en décembre 2007 par un reportage diffusé sur Intereconomia, qui montrait la duplicité des centres d'avortement en Espagne, notamment dans la pratique, courante, d'avortement tardifs. Si l'avortement n'est jamais moralement licite ni exempt de séquelles, l'avortement tardif provoque des souffrances psychologiques plus grandes encore. Aujourd'hui, ses dirigeants choisissent volontairement l'aveuglement.

Ci -dessous : le reportage diffusé en décembre 2007 à la télévision espagnole. Note: certains passages peuvent choquer les spectateurs, même parmi les moins sensibles.

 
 

 
 

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Car tous ont péché...

La presse se fait l'écho d'un livre du journaliste Ekke Overbeek indiquant que Karol Wojtyła, futur Pape Jean-Paul II (et aujourd'hui Saint Jean-Paul II) aurait avant son élection pontificale, en tant qu'archevêque de Cracovie, eu connaissance de témoignages de faits de pédo-criminalité (la presse ne relaie ni le nombre ni la nature des faits) et n'aurait pas apporté la réponse appropriée (à savoir le signalement des faits aux autorités civiles et le déclenchement d'une enquête canonique aboutissant au renvoi à l'état laïc des malfaiteurs).