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Qui ne dit mot ne consent pas

Publié par Incarnare le mardi 22/10/2013 - 00:08 - Mariage - Blog

Qui ne dit mot de consent pas.

Me paierais-je le luxe de contredire un Pape ? C'est en effet Boniface VIII qui est à l'origine de l'adage "qui ne dit mot, consent". Mais rassurez-vous : c'est de procédure judiciaire que s'entretenait le Pontife1, et non de relations intimes. Car en amour, qui ne dit mot ne consent pas

NRJ devrait s'en souvenir. Car en France, en 2013, il est aberrant qu'une chaîne de radio grand-public abrite un individu qui diffuse des vidéos où la "séduction" confine à l'agression sexuelle. Guillaume, "toucher une femme sans son consentement ne fait pas de toi un homme, ça fait de toi un lâche" te dit la dame sur la photo... 

Le paradis, cet enfer ? Episode 2 : le choix du salut

Publié par Incarnare le samedi 30/10/2010 - 23:35 - Blog

L'époque est propice à la réflexion sur le jugement dernier et la question du salut. Si Dieu est impitoyable, alors le paradis, c'est l'enfer; s'il est permissif, alors il n'y a plus de paradis où aller. L'opposition entre justice et miséricorde trouve peut-être une solution dans la liberté que Dieu nous offre.

Pro-Vie, pro-choix : la morale est-elle l'ennemi de la liberté ?

(Via Cathoweb) La chambre des représentants des États-Unis a donc adopté la réforme du système de santé voulue par Obama. Cette réforme a été toutefois amputée d'un volet important, auquel tenait le planning familial américain -qui essuie ici une défaite sévère- : le financement de l'IVG par l'État. Les pro-choice crient au scandale, dénonçant une atteinte à leur liberté.

Les américains sont beaucoup plus libéraux que nous, non seulement économiquement mais philosophiquement : ils sont d'avis que l'état doit intervenir le moins possible dans la vie publique. Cette position se fonde sur le fait que les états ont souvent été l'instrument de la restriction de la liberté individuelle, valeur première outre-atlantique. S'il s'agissait alors d'empêcher l'état de causer le malheur, cet écueil n'en est pas moins présent aujourd'hui : nous sommes dans une période où il devient tentant pour lui de définir des "bonheurs officiels", que chacun devrait poursuivre. C'est donc au nom de la liberté que les représentants ont choisi de refuser le financement public de l'IVG

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